La répression des opposants

Modifié par Clemni

La loi de sûreté générale

La loi de sûreté générale, adoptée le 19 février 1858, permet de condamner sans procès toute personne ayant déjà fait l’objet d’une condamnation politique depuis 1848. Elle donne donc un cadre « légal » à la lutte contre tous les opposants politiques de Napoléon III.

Le devenir des opposants au Second Empire

  • Environ 45 000 prisonniers politiques en métropole.
  • 20 000 déportés dans les bagnes de Guyane et de Nouvelle Calédonie, principalement condamnés pour faits politiques.
  • 2 500 opposants politiques exilés, à l’instar d’Henri Rochefort, d’Edgard Quinet ou de Victor Hugo.

Source : https://lesmanuelslibres.region-academique-idf.fr
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